Un des axes engagé dans la problématique de l’art et du temps, est de faire prendre en compte aux élèves la fugitivité du temps et son expression dans une matérialité évanescente. Si Baudelaire en 1963 énonçait dans Le peintre de la vie moderne que « La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’ immuable. », questionner aujourd’hui les élèves sur le temps, c’est soumettre leur production à un flux temporel difficilement palpable. De ce fait, le choix s’est fait de […]