Markus RAETZ – Lyse OUDOIRE – Marc TRIVIER – Vernissage Vertige d’images – Cité Scolaire Emile Zola – WATTRELOS – janvier 2015

Le jeudi  5 février 2015 à 17h a eu lieu le vernissage de notre exposition. Nous avons eu le plaisir de constater que les élèves et collègues venaient de plus en plus nombreux à ce rendez-vous avec les œuvres et sont en demande d’explications supplémentaires sur les œuvres.

Notre exposition regroupait un ensemble d’œuvres très diverses, certaines prêtées par le MuBA Eugène Leroy de Tourcoing : une peinture d’, une estampe de Markus RAETZ, une sculpture de Lyse OUDOIRE, une photographie de Marc TRIVIER.

Mais des artistes nous avaient également prêtées des œuvres : Pauline DE CHALENDAR une vidéo (réalisée avec le soutien du Fresnoy), Carol Levy un tirage numérique,  Fred MARTIN une photographie et Thierry DEROSIER une peinture.

Nous avions donc un ensemble riche et varié autour de la thématique de l’image amenant à explorer l’entre-deux entre abstraction et figuration et à se poser la question de la perception : comment l’image fait appel à notre imaginaire? Où se trouve l’image: devant nous ou dans notre esprit?

Ce vernissage fut l’occasion de belles rencontres avec les œuvres pour les élèves.  

Messaouda, élève de 1ère L, fut littéralement fascinée par la peinture d’Eugène Leroy dont elle n’arrivait pas à détacher le regard.

Sarah, élève de terminale L, fut aussi très frappée  par ce portrait où elle vit comme « le reflet d’une tête dans une flaque d’eau ». Elle s’en inspira pour une de ses réalisations pour le bac.

Yasmine, quant à elle, eut l’occasion de discuter avec Thierry Derosier lorsqu’il vint accrocher sa toile. Les propos de l’artiste qui envisage la contemplation de l’œuvre comme une promenade l’ont beaucoup marqué.

Marius apprécia le brillant et l’éclat des couleurs de la photographie de Fred Martin qui rendait d’autant plus saisissant l’émergence de la figure.

Pour Martin, ce fut la virtuosité du montage numérique de Carol Levy qui l’enthousiasma.

Ce qui est frappant, en définitive, c’est qu’aucune œuvre ne laissa indifférent : chacun eut son coup de cœur, ce qui permit ensuite en classe de riches discussions sur le pourquoi.